Marie-Christine Barrault: «Le souvenir de Vadim continue à m’épanouir»
Dans deux heures, elle sera dans le train pour Narbonne, où elle est invitée à un Salon du livre pour signer, celui qu’elle vient de publier Si tu savais, c’est merveilleux *. Mais, même s’il lui reste encore à faire sa valise, puis à rejoindre la gare de Lyon par le métro, Marie-Christine Barrault ouvre la porte de son chez elle (depuis trente-trois ans) parisien, avec un sourire chaleureux. Sans l’ombre d’un stress dans son regard bleu azur, la voilà qui virevolte, pieds nus, entre son séjour, à la vue à couper le souffle (il donne sur le Jardin des Tuileries, la Tour Eiffel, les Invalides) et la cuisine, où elle fait couler deux cafés. «En ce moment, je ne sais plus où donner de la tête. La semaine dernière, j’étais en Bretagne pour une lecture publique, la semaine prochaine, j’ai un tournage. Vous prenez du sucre?»
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