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Culture

Encore un premier 
rôle pour Alzheimer au cinéma

- lun. 02/03/2015 - 00:00
Still Alice, film américain à gros budget, retrace l’histoire d’une linguiste touchée par la maladie. Un thème sensible qui a déjà fait l’objet d’une quarantaine de longs métrages.
Still Alice
DR

La maladie d’Alzheimer ne fait plus peur au cinéma. Plus d’une quarantaine de films a traité avec plus ou moins de réussite des tourments de cette maladie. Du monde de Marty à Je n’ai rien oublié en passant par Se souvenir des belles choses, Loin d’elle, Iris ou le très beau Ne m’oublie pas. «De plus en plus de films évoquent cette maladie et nous sommes heureux de cette mise en lumière», déclare Susanne Bandi, responsable de communication de l’Association Alzheimer Suisse. «Les fictions ne sont pas des miroirs, la réalité est souvent plus triste. Mais le cinéma a un réel impact de sensibilisation.» En Suisse, 116 000 personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer. Et ce chiffre devrait tripler d’ici à 2050.

 

Les réalisateurs suisses ont eux aussi porté leur regard sur cette souffrance. Richard Dindo se définit volontiers comme «un cinéaste de la mémoire...

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