publicité
Culture

Dans la peau de la banlieue

- ven. 01/11/2019 - 00:00
Dans la peau de la banlieue
Arrivé à Cherbourg, Stéphane (à gauche) dàcouvre une banlieue toujours aussi misérable.
D'abord la fête: l'équipe de football de France vient de gagner la Coupe du monde 2018. Ensuite, le quotidien qui dérape. Stéphane, jeune policier, est muté de Cherbourg aux Bosquets. Il fait sa première journée dans la cité de la banlieue parisienne avec deux briscards de la brigade anticriminelle. Il participe à la traque d’un gamin qui a volé le lionceau d’un cirque gitan. Au moment de l’arrêter, c’est la bavure. Avec Les misérables du réalisateur Ladj Ly, on n’est pas loin de Spike Lee (Do the Right Thing) ou de John Singleton (Boyz’n the Hood). Le film fait corps avec la banlieue, survolée avec un drone ou en immersion à ras le sol et les gens. Une banlieue vue du point de vue de la nouvelle recrue. Une banlieue étrangère à l’image médiatique qui occulte souvent le réel. Une banlieue au bord de la crise...
publicité

La suite est réservée à nos abonné·e·s

Découvrez nos offres d’abonnement

En lecture
Dans la peau de la banlieue
publicité