Donneur d’organes sans attendre
Fin septembre, les Chambres fédérales, à Berne, ont accepté le contre-projet à l’initiative populaire «Promouvoir le don d’organes». Et, du coup, a avalisé le principe du consentement présumé, sur le modèle de « qui ne dit rien consent ». En clair, chaque défunt sera désormais considéré comme un donneur d’organes potentiel à moins d’indications contraires. Contrairement à aujourd’hui, puisque les victimes d’accidents doivent avoir signalé clairement leur volonté de donner en amont. La nouvelle loi pourrait entrer en vigueur en 2023 déjà. Et elle devrait permettre à la Suisse de ne plus figurer parmi les mauvais élèves européens en la matière. Aujourd’hui, hélas, les chiffres parlent d’eux-mêmes. A la fin du premier trimestre 2021, 1479 personnes attendaient encore un ou plusieurs organes en Suisse. Reste que, sans attendre 2023, on peut déjà agir pour améliorer la situation. De fait, il faut commencer par demander une carte de donneur. Et...
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