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Droit & Argent

Les Suisses pas encore séduits par les directives anticipées

La rédaction, - mer. 01/04/2020 - 00:00
Une étude montre que directives anticipées et mandats pour cause d’inaptitude sont encore trop peu utilisés. Parmi ceux qui ont fait le pas, les Suisses alémaniques y recourent davantage que les Romands et les Tessinois. Explications.
Les Suisses pas encore séduits par les directives anticipées
© Istock

Mandaté par Pro Senectute, l’Institut de sondages et d’études de marché gfs-Zürich vient de livrer les résultats d’une enquête sur les directives anticipées et le mandat pour cause d’inaptitude. Et les résultats interpellent : uniquement un quart des sondés, plus de 1200 personnes, ont pris des dispositions en cas d’accident ou de maladie grave qui les empêcherait d’exprimer leurs volontés à la fois thérapeutiques et légales.

Réalisé entre février et mars de cette année, le sondage constate cependant que le nombre de personnes ayant établi des directives anticipées ou des mandats pour cause d’inaptitude a augmenté (+2 % et +5 % respectivement) par rapport à 2017. Simultanément, la notoriété de ces deux outils destinés à donner des consignes claires, le jour où il ne sera plus possible de le faire, croît à son tour de 3 % à 4 %. Désormais, les directives anticipées sont connues par 68 % des...

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