Des pachydermes maltraités, chevauchés par des fans de selfies goguenards... ces images ont choqué, au point d’amener certains activistes à quêter pour financer des campagnes de boycott touristique du Sud-Est asiatique. Confrontée à trop de désinformation, la Thaïlande vient de convier des journalistes du monde entier à voir sur le terrain un constat objectif, validé par la crème des scientifiques et des vétérinaires spécialisés.
Il ressort de leur analyse que, entre le tout noir et le tout blanc, subsiste une zone grise. Le tout noir : ces exhibitions où les éléphants jouent encore au football ou réalisent des « œuvres d’art » par la vertu de sournoises stimulations orientant le pinceau fixé à leur trompe. Dans les nouveaux « sanctuaires », le divertissement cède le pas à l’éducation. Invités à un contact étroit avec l’animal libéré de ses entraves, les visiteurs peuvent le cajoler, partager ses baignades, lui proposer des...
publicité
La suite est réservée à nos abonné·e·s
Découvrez nos offres d’abonnement
Déjà abonné·e ? Se connecter