Pourquoi, en cas de smog, interdire votre centre-ville aux véhicules très polluants, à commencer par ceux qui ont plus de 18 ans ?
Pour des raisons de santé publique. En Suisse, il y a chaque année 3000 personnes qui meurent prématurément à cause d’une mauvaise qualité de l’air, les jeunes enfants et les personnes âgées étant particulièrement touchés lors des pics de pollution. Mais, même au deuxième niveau d’alerte, seulement 16% du parc automobile sera concerné par la restriction.
Cette mesure aura-t-elle un vrai impact ?
C’est une première en Suisse, tant par son dispositif que par sa logique de prévention. Sachant que la principale cause impactant la qualité de l’air est le trafic motorisé, responsable de près de 40% des particules fines, nous voulons l’activer avant qu’un pic ne soit atteint. Il est toutefois important d’améliorer aussi de manière pérenne la qualité de l’air grâce à des mesures spécifiques...
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