Libre choix de l’EMS, une illusion?
Trouver une place en EMS équivaut à un véritable parcours du combattant: cette affirmation revient souvent dans la bouche de personnes qui ont eu à placer un proche. Et c’est parfaitement compréhensible. Dans un contexte chargé émotionnellement, chaque démarche administrative apparaît comme un obstacle. Mais qu’en est-il réellement?
D’abord, on ne choisit pas d’aller en EMS. En tout cas, la plupart du temps. «Quatre fois sur cinq, le patient va directement de l’hôpital à l’établissement médico-social qui lui servira de lieu de fin de vie», rappelle Pierre Ethenoz, patron de La Rozavère à Lausanne. Une proportion retrouvée grosso modo sur tout le territoire romand.
(Paru dans l’édition du mois de septembre 2011)
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