Sylvie Vartan, « Je suis plus volcanique qu’iconique ! »
Depuis le temps qu’elle en donne, des interviews, la toujours blonde Sylvie pourrait prétexter les gestes barrière ou Los Angeles où elle vit (en réalité, de moins en moins « mon pays c’est la France ») ou encore sa retenue naturelle (« je suis quelqu’un de timide qui ne se livre vraiment que sur scène ») pour que l’échange se déroule par téléphone. Mais elle n’est pas comme ça, la toujours sexy Sylvie. Elle apprécie la rencontre humaine. Pas pour rien si son dernier album studio s’appelle Merci pour le regard.
« C’est important le regard, on voit tout dans les yeux, c’est ce qui marque en premier, et aussi les mains, la gestuelle. » Même derrière des verres teintés, le regard de Sylvie Vartan a conservé ce zeste d’impertinence qui l’a distinguée des autres chanteuses yéyé dès sa première apparition en 1961 dans Panne d’essence, où elle donnait...
publicité
La suite est réservée à nos abonné·e·s
Découvrez nos offres d’abonnement
Déjà abonné·e ? Se connecter