Mathias Reynard fort de son héritage altruiste
« Les valeurs que je défends, je les dois à mes parents. » Si la politique partisane n’a jamais eu sa place à la maison, Mathias Reynard, né en 1987, chef du Département valaisan de la santé, des affaires sociales et de la culture, a été nourri, enfant déjà, au respect de l’autre. « Le cravaté ne vaut pas plus que celui qui rentre du chantier son habit couvert de poussière. » Son écoute des sans voix, le Saviésan la puise dans son milieu qu’il décrit comme « simple », au sens noble du terme : un papa poseur de sol, à la tête d’une petite entreprise familiale, où sont, aujourd’hui, actifs son frère et sa maman, infirmière de profession. « Ma mère accompagne mon père dans ce travail physiquement exigeant. Elle donne aussi des cours de langue aux migrants. » Proche de ses parents et de ses deux frères, le...
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