Son allure de gendre idéal, bien sapé, dans une belle chemise et une élégante veste de costard, il la garde pour les sorties à connotation professionnelle. Un reliquat de son éducation, avoue-t-il en rigolant. «Ma mère, qui n’était pas une bourgeoise, nous répétait toujours, à mon frère et à moi, qu’il fallait porter une chemise et une veste pour aller dans le monde. Et bien se peigner aussi.» Dans la vie quotidienne, Lambert Wilson se révèle plus décontracté: un jeans, un T-shirt, un pull-over et hop-là. Sa belle prestance n’en est pas chagrinée pour autant.