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Société

Karin Viard: «Ma liberté, je la dois à mes grands-parents»

- ven. 01/12/2017 - 00:00
Eblouissante dans la comédie dramatique Jalouse, Karin Viard se confie sur ses insécurités de femme, d’actrice mais aussi de mère. Un rôle voué à se transformer, ces prochaines années. Portrait intime.
Karin Viard
photo: DR

Singulière. Quel autre qualificatif siérait davantage à Karin Viard, comédienne aux multiples facettes ? Ambivalente à l’envi, tour à tour gouailleuse, séductrice, effrontée ou encore tourmentée, l’actrice a su conquérir le cœur des spectateurs avec son naturel impérieux — un tempérament férocement libre ou, peut-être plus exactement, librement « sauvage », comme elle aime à se définir aujourd’hui.

Il faut dire que Karin Viard, à bientôt 52 ans, déteste toute forme d’étiquettes — les clans, les assimilations à un genre, les convenances, le prêt-à-penser. A l’instar de sa cinématographie, foncièrement affranchie de toute logique qui serait autre que le seul désir. « Cette liberté, je la dois à mes grands-parents qui m’ont élevée. Ils m’ont aimée follement, mais ils n’avaient pas non plus envie de s’embêter à m’éduquer, confie-t-elle. Cela a eu des bons et des moins bons côtés … »

Résolument indomptable, Karin Viard ne pouvait donc qu’éblouir dans Jalouse, où elle incarne une mère...

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