Joël Dicker: « Ma grand-mère a été la première à me considérer avec sérieux »
« Saveurs d’Italie » : c’est dans cette petite épicerie bardée de bons crus que l’écrivain Joël Dicker nous a donné rendez-vous, en ce beau lundi de mai à Genève. Il arrive à l’heure, souriant, athlétique, détendu, quittant son vélo électrique pour rejoindre son stamm
où, jurent les propriétaires, des lecteurs guettent son arrivée, certains jours.
L’écrivain genevois sortait, en mars dernier, son quatrième roman, La disparition de Stephanie Mailer, l’histoire haletante et savamment orchestrée d’un meurtre — de plusieurs, en fait — commis dans une petite station balnéaire des Hamptons dans l’Etat de New York. Fera-t-il aussi bien qu’avec son fameux roman La vérité sur l’affaire Harry Quebert, vendu à plusieurs millions d’exemplaires dans le monde et, aujourd’hui, adapté au cinéma par Jean-Jacques Annaud ? A voir. En septembre prochain, il sera en tout cas l’un des invités phares du « Livre sur les quais », à Morges, lors...
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