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Société

Joël Dicker: « Ma grand-mère a été la première à me considérer avec sérieux »

- dim. 01/07/2018 - 00:00
L’écrivain romand Joël Dicker aime aussi parler des générations qui l’entourent. Il sera à Morges à la rentrée pour son nouveau roman. Rencontre.
interview de Joel Dicker
 Rendez-vous était donné à Genève dans le stamm de l'auteur, une épicerie fine italienne © Yves Leresche

« Saveurs d’Italie » : c’est dans cette petite épicerie bardée de bons crus que l’écrivain Joël Dicker nous a donné rendez-vous, en ce beau lundi de mai à Genève. Il arrive à l’heure, souriant, athlétique, détendu, quittant son vélo électrique pour rejoindre son stamm

où, jurent les propriétaires, des lecteurs guettent son arrivée, certains jours.
L’écrivain genevois sortait, en mars dernier, son quatrième roman, La disparition de Stephanie Mailer, l’histoire haletante et savamment orchestrée d’un meurtre — de plusieurs, en fait — commis dans une petite station balnéaire des Hamptons dans l’Etat de New York. Fera-t-il aussi bien qu’avec son fameux roman La vérité sur l’affaire Harry Quebert, vendu à plusieurs millions d’exemplaires dans le monde et, aujourd’hui, adapté au cinéma par Jean-Jacques Annaud ? A voir. En septembre prochain, il sera en tout cas l’un des invités phares du « Livre sur les quais », à Morges, lors...

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