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Société

Jean Studer ne s’est pas laissé griser

- mar. 01/10/2019 - 00:00
Le populaire Jean Studer n’est pas tombé dans l’oubli, depuis son départ du Conseil d’Etat neuchâtelois, en 2012. Il a été président du Conseil de la Banque nationale suisse (BNS) et, maintenant, de la Banque cantonale neuchâteloise.
Jean Studer ne s’est pas laissé griser
Adieu moustache et pipe (photo suivante prise en 1983), Jean Studer reste néanmoins toujous aussi actif et sa bonne humeur ne l'ap as quitté, comme ici au Cardoche de Neuchâtel. © Alain Germond

Avril 2019. Nous sommes attablés au Cardoche, une brasserie populaire au cœur de Neuchâtel. Jean Studer jure que les ors du pouvoir ne l’ont jamais étourdi. « Je n’ai aucun regret. J’ai préservé ma liberté en tant qu’avocat et en tant que homme. Ma carrière politique a été marquée par les heureux hasards de la vie démocratique suisse. » Etre ou pas la bonne personne au bon moment pour la bonne place. Ce n’était pas le cas pour le Conseil fédéral en 2002. D’abord, au contraire de Micheline Calmy-Rey, ce jeune sénateur, encore sans expérience d’un exécutif, n’était pas une femme. Mais il s’est souvent trouvé où il le fallait quand il le fallait. Quant à la renommée médiatique, il dit avec modestie : « Il suffit d’un peu de lucidité pour savoir que la visibilité médiatique a peu à voir avec mes qualités, tout à voir avec mes  fonctions. »
Flash-back : je le revois...

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