Jean-Marie Périer: «Je suis un témoin de la jeunesse des gens!»
Même s’il prétend se trouver vieux depuis qu’il a atteint 60 ans ou qu’il déteste croiser son reflet dans un miroir parce que les signes de la vieillesse le dégoûtent, Jean-Marie Périer est un octogénaire fringant, sur lequel les femmes se retournent. Tandis que nous discutons sur la terrasse d’un café, l’une le reconnaît et l’interpelle sur sa biographie: «Ça n’a pas dû être facile de découvrir que l’homme qui vous avait élevé n’était pas votre père», faisant référence au comédien François Périer, son père d’adoption et à Henri Salvador, son père originel. Pas dérouté par cette intrusion dans son intimité, Jean-Marie Périer répond en souriant. «Les gens sont gentils avec moi! Je suis un témoin de leur jeunesse.»
- C’est parce que vous avez trop immortalisé la jeunesse, celle des yéyés en l’occurrence, que vous êtes aussi dur avec la vieillesse?
- Jean-Marie Périer: Peut-être. Il est vrai que...
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