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Société

Jacqueline Jencquel: «Mon désir de mort n’est pas constant»

Véronique Châtel, Journaliste - mer. 01/07/2020 - 00:00
Dans son récit autobiographique, Terminer en beauté*, Jacqueline Jencquel révèle qu’elle n’est pas pressée d’en terminer... avec la vie, pourvu que celle-ci lui promette encore de bons moments. Rencontre à Paris avec une jouisseuse sans limites.
Jacqueline Jencquel  : « Mon désir de mort n’est pas constant »
© DR

Le lieu où elle vit lui a inspiré de nombreuses pages de son livre. Aussi bien son appartement avec vue sur cour qu’elle loue au sculpteur Fernando Botero, que son quartier — le 7e arrondissement de Paris et le café où elle a ses habitudes. Il était donc tentant de faire connaissance avec la diva du droit à mourir dans la dignité sur ses terres parisiennes, dans l’élégance sobre de sa tanière, où sont exposés — sans sobriété — beaux livres d’art et immenses photos de ceux qui comptent pour elles, ses trois fils, ses petits-enfants et toutes sortes d’artistes et d’écrivains. « Bientôt, je ne pourrai plus me payer cet endroit. C’est l’une des raisons pour lesquelles, je souhaite mourir », explique la blonde septuagénaire à la silhouette juvénile.

Jacqueline Jencquel avait décidé de tirer le rideau en juillet, soit trois mois avant de fêter ses 77 ans. Mais...

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