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Société

Francis Huster: «On me trouve excessif, tant mieux!»

- dim. 01/10/2017 - 00:00
A l’affiche de plusieurs théâtres romands, Francis Huster publie N’abandonnez jamais, ne renoncez à rien. Rencontre avec un « quasi » septuagénaire en ébullition.
Francis Huster
photo: © Christine Renaudie

Francis Huster est un homme débordé. C’est ce qui le rend difficile à rencontrer. Son agenda est rempli de dates de tournées en France, en Suisse, en Israël, ailleurs. En comptabilisant les heures qu’il passe à écrire le livret d’une nouvelle pièce, déjà quatorze à son actif, à répéter ses rôles, à transmettre l’art de la comédie, car il enseigne régulièrement, il ne lui reste plus beaucoup de temps pour sa vie privée — notamment ses deux filles, dont il guette les appels sur son téléphone. Et cela fait bientôt cinquante que cela dure. Depuis qu’il est sorti auréolé de trois prix du Conservatoire de Paris. Qu’il a montré au fil du temps qu’il savait incarner tout à la fois Rodrigue, Lorenzacio, Don Juan, des héros romantiques à la télévision, comme l’inoubliable Marcel dans Les dames de la côte, et des comiques comme Juste Leblanc dans Le dîner de cons...

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