Dick Marty: la mort et moi
- Vous racontez être né en mauvaise santé: votre vie a commencé par un rendez-vous manqué avec la mort?
- Je ne m’en suis pas rendu compte, bien sûr. Ce dont je me souviens, c’est que, affecté également par de gros problèmes de vue, j’ai dû lutter pour récupérer la perception nécessaire à une vie normale. Ces difficultés m’ont appris à me battre. Elles expliquent peut-être pourquoi, face aux choix que j’ai eu à faire, j’ai toujours opté pour le chemin le plus difficile…
- Fin 2020, la police vous apprend que des tueurs serbes sont à vos trousses et déclenche un plan de haute protection. Vivez-vous dans la peur de la mort?
- Franchement, la mort reste un non-sujet de préoccupation pour moi. C’est peut-être un mécanisme de défense, notez. Il est bien probable que j’aie couru de plus grands dangers lors d’enquêtes au Congo ou en Tchétchénie. Mais...
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