Derib: «Le mythe de l'Indien ne vieillit pas»
On ressort incroyablement riche d’une rencontre avec Claude de Ribaupierre, plus connu sous le nom de Derib. Riche, d’abord, comme sa carrière commencée il y a cinquante ans, à Bruxelles avec Peyo l’auteur des Schtroumpfs. Et dix ans plus tard arrivaient dans les librairies un petit Indien sioux âgé de 8 ans, Yakari, et son fidèle poney, Petit Tonnerre. Un duo qui a accompagné plusieurs générations, celles des 50 ans et plus, de leurs enfants et aujourd’hui de leurs petits-enfants. Traduit dans 20 pays, Yakari connaît d’ailleurs même un prolongement sur scène en Allemagne où une comédie musicale tourne depuis des années.
Travailleur infatigable – il dessine dix heures chaque jour dans la superbe maison construite par son père, juchée sur les hauts de la Riviera et cela sans relâche dans la semaine – Derib a encore assouvi sa passion de l’Amérique avec des séries aussi abouties que...
publicité
La suite est réservée à nos abonné·e·s
Découvrez nos offres d’abonnement
Déjà abonné·e ? Se connecter