Uue faire de cette nuque, de ces épaules qui ne veulent plus dormir n’importe où ni n’importe comment et hésitent désormais à se poser sur n’importe quel oreiller … Ici encore, tout est complexe. Remonte l’image de l’oreiller en plumes d’oie hérité de ma grand-mère quand j’étais étudiante. L’arête dorsale de ces plumes-là perçait presque le coton jauni par les ans et je redoutais les regards tout aussi perçants portés sur cette vieillerie quand je changeais sa housse.
Les années ont passé, j’ai cru le repos de mes cervicales garanti grâce au petit format acheté dans une boutique du dos, une merveille pratique en voyage comme chez soi. Et puis, il s’est soudain raidi sans que je comprenne pourquoi et, à la fin de son existence, il tenait davantage du bloc de béton que de la mousse « à mémoire de forme ».
J’ai alors découvert que la capitale vaudoise regorge de magasins...
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