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Opinion

« Profitons et hardi petit ! »

- ven. 03/01/2020 - 00:00
« Profitons et hardi petit ! »
© iStock

Après 50 ans, parfois on divorce. Lorsqu’on a réglé les joyeuses questions de garde, d’argent et de logement, il arrive, un jour, où on nous demande ce qu’on veut boire, et où on n’a plus envie de répondre : « Un verre d’arsenic, merci. » On prend un Spritz et on se rend compte que, comme le disent élégamment nos amis, on se retrouve désormais « sur le marché ». Problème : on n’est plus exactement un produit de première fraîcheur. Parce que non seulement on a pris cher, mais on a aussi pris 20 ans. On est la même personne, mais avec le matériel un peu plus bas qu’avant : paupières, seins, triceps, coins de la bouche, ventre, fesses. Bref, ça tombe un peu, comme le moral. Et ce jour-là, vous vous dites que ce serait cool de retrouver une intimité avec un homme. Mais imaginez : vous rencontrez...

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