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Santé & Bien-être

A La Rozavère, seule une demande d’assistance sexuelle a eu lieu

Martine Bernier, Journaliste - lun. 02/03/2015 - 00:00
A l’EMS La Rozavère, si la direction et le personnel soignant sont acquis à l'idée de l’assistance sexuelle, ils doivent encore faire face à certaines réticences.
EMS la Rozavère
© Wollodja Jentsch

Premiers concernés par l'apparition de l'assistance sexuelle, les EMS font le plus souvent preuve d'une ouverture d'esprit qui témoigne de l'évolution de la société, comme le souligne François Sénéchaud, secrétaire général de l'AVDEMS (Association vaudoise d'établissements médico-sociaux): «Notre association faîtière représente 115 établissements, et notre opinion sur cette question est favorable. Il est difficile d'accepter de s'interroger sur la sexualité de nos parents, de nos aînés. C'est un sujet très discouru, notamment dans les colloques. Entrer à l'EMS ne signifie pas entrer au cloître. Dans les établissements qui ont ouvert leurs portes à cette pratique, tout un accompagnement doit être mis en place autour de la personne qui fait appel à l'assistance sexuelle, notamment pour régler les problèmes de promiscuité.»

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La démarche a beau être considérée comme positive, elle soulève un certain nombre de questions matérielles à régler...

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