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Culture

Un géant de fer nommé Atlas

- lun. 18/03/2019 - 00:00
BD. A saluer la sortie d’un roman graphique ambitieux qui nous infiltre dans la pègre française pour mieux réécrire la guerre d’Algérie tout en faisant référence à La guerre des mondes et à la science-fiction. Un seul mot: encore!
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© DR

Plus de 220 pages pour le seul tome 1: Le dernier Atlas, c’est du lourd, au propre comme au figuré. Cette bande dessinée sort vraiment du lot et pour le mieux. Elle commence pourtant en banlieue française avec de petits caïds dont Ismaël qui installent des jeux dans les cafés. Avant de partir en Algérie où une journaliste française tombe nez à nez avec des dizaines de milliers d’oiseaux réunis pour attendre quelque chose mais quoi? L’apparition d’une sorte d’Alien géant dont on ignore les intentions. Ismaël repense à son enfance, à l’époque où la France produisait et exportait dans ses colonies d’immenses robots hauts comme des maisons, les Atlas. Tous démantelés après une mystérieuse catastrophe, sauf un qui a fini en Inde. Ismaël va alors trouver des alliés pour le remettre en fonction afin de stopper l’Alien. Voilà pour les grandes lignes de l’intrigue qui permet aussi de...

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