Maxime Chattam nous tire vers le bas
On se pose la question à chaque fois. Comment, avec un visage aussi avenant, le père Chattam parvient à inventer, livre après livre, une histoire encore plus tordue que la précédente. Et à nous y faire croire. Disons-le d’emblée, son dernier né est à ranger dans la catégorie grand millésime. Il faut dire que l’auteur, traduit dans une vingtaine de pays, a mis le turbo à son imaginaire dans La constance du prédateur. Voyez plutôt: Un tueur en série, Charon, entrepose les cadavres de ses victimes dans des mines désaffectées avec pour seule signature, une tête d’oiseau déposée dans leur corps. Le hic, c’est que les meurtres s’étendent sur une durée trop longue pour un seul psychopathe. On l’a compris, la profileuse Ludivine Vancker, nouvellement détachée au Département des Sciences du Comportement de la Gendarmerie, se trouve sans doute devant le plus grand défi de sa vie.
Maxime Chattam...
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