Avec leur premier film, Case départ, les deux anciens du Jamel Comedy Club avaient fait une entrée remarquée et déjà talentueuse dans le cercle fermé de la comédie. Par bonheur, celui du spectateur, Fabrice Eboué et son complice Thomas Ngijol font mieux que confirmer dans ce deuxième long-métrage où ils caricaturent avec bonheur un dictateur africain, bien frappé.
Un humour cynique et mordant, mais sans excès, parfois absurde, mais juste ce qu’il faut: disons-le, ce crocodile du Botswanga est un pur bonheur qui se démarque avec allégresse de la l'habituelle production made in France.
L’histoire: Didier, agent de joueur, débarque au en Afrique avec son jeune champion, de très loin le meilleur footballeur de toute sa misérable carrière. Officiellement, ce dernier vient disperser les cendres de sa mère, dans leur village d’origine. Et accessoirement tourner un spot pour la lutte contre le SIDA. Mais le président Bobo (Thomas Ngijol...
publicité
La suite est réservée à nos abonné·e·s
Découvrez nos offres d’abonnement
Déjà abonné·e ? Se connecter