Le cachalot fait le ménage
Bon, d’accord, ce n’est pas Bérurier. Mais il y quelque chose de l’adjoint gargantuesque du commissaire San Antonio dans le personnage de Priam Monet. Physiquement, il est grand et gras. On le surnomme le cachalot. Et le cachalot aime les femmes qui ne manquent pas des rondeurs. Pour le reste, ce commandant de la police des polices déteste tout le monde, humains, animaux et la montagne où il débarque pour une simple inspection d’un petit poste de la police aux frontières. Une mission de routine jusqu’à la découverte du corps d’un migrant. Qui finalement n’en est pas un et qui a bien été assassiné. Priam se met alors en quête de vérité et va nettoyer cette région de toutes ses pourritures.
Une intrigue bien construite, rythmée, de vrais salauds et, surtout, un flic qui fait tout pour être détesté sans toujours y arriver. Perso, le cachalot, on aime un peu...
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